Cet os est le numéro 1 sur 12 du cadavre Humeur d'ours
En réaction à mon camarade blogueur Saint-Epondyle qui énonce les raisons qui l'ont poussé à adopter et développer une identité web indépendante, ce qu'il appelle porter un masque, je voulais, quant à moi, expliquer mon choix inverse. Ah oui, je vois d'ici ceux qui vont me tomber sur le râble en brandissant les termes dont je m'affuble ici et ailleurs. Déjà, L'Ours n'est pas un pseudo, mais mon animal totem (et aussi un qualificatif comportemental à peine exagéré). Je ne cache nullement [La suite, la suite ...]
En réaction à mon camarade blogueur Saint-Epondyle qui énonce les raisons qui l'ont poussé à adopter et développer une identité web indépendante, ce qu'il appelle porter un masque, je voulais, quant à moi, expliquer mon choix inverse. Ah oui, je vois d'ici ceux qui vont me tomber sur le râble en brandissant les termes dont je m'affuble ici et ailleurs. Déjà, L'Ours n'est pas un pseudo, mais mon animal totem (et aussi un qualificatif comportemental à peine exagéré). Je ne cache nullement
Mes confrères blogueurs Ploum et Alias s'y sont risqués. Pour ma part j'avais déjà tenté une approche plus primitive et rudimentaire de la chose. Mais dans le fond, j'ai besoin de prendre une position plus structurante vis-à-vis de ce qui secoue les esprits, particulièrement en Europe, où la crise économique et la montée des mouvements d'extrême-droite semblent être à la fois liées et moteurs des transformations sociales qui s'amorcent. A mon niveau d'Ours de la Caverne, je ne relate
Les ours de ma génération, et les humains aussi probablement, ont sûrement été marqué en leur temps par cette locution latine au travers du 7ième art (et y'en a même qui, comme moi, ont fait du latin et qui savent ce que ça veut dire tout en étant notoirement inculte vis-à-vis de l'expression artistique en question). Et pour ceux qui ne l'ont pas encore vu, sans doute des jeunes cons qui passent leur temps à liker des conneries sur facebook et qui n'ont pas la moindre idée qu'avant l'an
Voici le résultat d'une étude sociologique réalisée (par moi tout seul) sur des personnages de fiction principalement issus de l'imagination des scénaristes américains qui sévissent depuis quelques décennies à Hollywood. En général, je sais qu'on a tendance à faire ce genre d'étude à propos de vraies personnes. Pour ma part, je trouve qu'il n'est pas inintéressant de s'intéresser à la genèse de personnages imaginaires comme ceux-ci, ne serait-ce que pour pointer du doigt ce qui
27
Mar
Noob, sous-total
LSOM, pour les intimes, c'est une œuvre cinématographique amateur colossale et impressionnante, qui tape dans un registre inusité en France, puisqu'il s'agit d'Heroic-Fantasy. Long métrage parfaitement original, il jouit jusqu'à présent d'une solide réputation dans la sphère geek. Personnellement, j'ai découvert l'équipe et ce film en particulier lors du Geekopolis 2013 et il nous y avait été présenté la première demi-heure finalisée (ou presque) de ce petit bijou. Ce sont
4
Juin
Geekiversaire
26
Juin
La culture, c’est la vie
Plus l'on s'en sert, moins l'on sait s'en servir. Voilà balancée en une phrase le nec plus ultra de la pensée synthétique que m'évoque les réseaux sociaux à ce jour. Ce qui est en somme la conclusion de mon article, ici affichée comme une introduction, parce que ce qui va compter dans les propos qui vont suivre, ce n'est pas l'idée que je viens de vous servir comme une réflexion pré-mâchée genre "phrase choc" pour épater la galerie, mais le raisonnement qui m'y conduit.
Outil ou
Tiens, je n'étais pas sûr de faire un billet dans la mouvance Summer of Fail imaginé par mon blogami Alias, et puis d'un coup, sans vraiment y penser, m'est revenu ce que je peux véritablement appeler un epic fail dans ma vie assumée de créateur foireux. Parce que j'ai un vrai problème : je suis incapable de reconnaître mes échecs. Appelez cela une forme de narcissisme si vous voulez, mais il m'est difficile de ne pas aimer ce que je fais. Je n'estime donc un échec qu'à la mesure d'une