Que voilà un titre pompeux... J'en conviens, mais pour une fois, je n'avais pas envie de chercher un jeu de mot pourri pour évoquer le sujet qui va suivre. Car,...
Que voilà un titre pompeux... J'en conviens, mais pour une fois, je n'avais pas envie de chercher un jeu de mot pourri pour évoquer le sujet qui va suivre. Car, il s'agit bien de montrer du doigt un phénomène plus qu'inquiétant que les médias relaient avec une certaine fierté dans un contexte économique et sociale qui part en couille.
La dernière trouvaille en date, c'est la place de cinéma première classe. C'est un peu la goutte d'eau qui fait déborder le blog. Je n'aurai pas forcément
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Le western, un type de film vu et revu en long, en large et en travers, ne fait plus trop recette ces dernières années. Ça tombe bien, parce qu'on n'en voit pas...
Le western, un type de film vu et revu en long, en large et en travers, ne fait plus trop recette ces dernières années. Ça tombe bien, parce qu'on n'en voit pas beaucoup (le dernier en date me concernant étant True Grit), et la plupart s'efforcent de revisiter le genre sous différents angles. Ce qu'il y a de bien (ou de terrible, selon les avis) avec Tarantino, c'est qu'il estime beaucoup le genre dans son interprétation la plus complète, c'est à dire dans un mélange très particulier
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Voici, dans un titre tout ce qu'il a plus con, ma contribution poétique à la Saint-Valentin... Parce que ça rime. Je l'admets, c'est totalement crétin... Ce que j'ai écrit ?...
Voici, dans un titre tout ce qu'il a plus con, ma contribution poétique à la Saint-Valentin... Parce que ça rime. Je l'admets, c'est totalement crétin... Ce que j'ai écrit ? Non, le foin qu'il est fait autour de la Saint-Valentin. Déjà c'est la raison pour laquelle, parce que je suis un sale ours mais moins crétin que la moyenne, que je n'en parle pas le jour même, et ensuite, que je vais me gausser de la chose avec délectation et outrecuidance.
Mais avant, un peu de culture. La saint-valentin
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C'est un curieux rappel aux films de gros bras des années 80 que voilà. En général, quand on pense "gros bras", c'est un Stallone ou un Schwarzenegger qui sort du...
C'est un curieux rappel aux films de gros bras des années 80 que voilà. En général, quand on pense "gros bras", c'est un Stallone ou un Schwarzenegger qui sort du chapeau, parfois un Willis, mais la particularité d'un Schwarzy comme c'est le cas ici, c'est que le bonhomme a 65 ans et qu'il a été gouverneur de Californie pour de vrai. Stallone nous a déjà fait un retour tonitruant au cinéma, après un passage à vide, dans la série Expendables dont il est le scénariste et le réalisateur
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